La loi de la jungle

Les animaux sont vraiment déjantés... C'est une constatation que les visionnages de très (de trop, peut être) nombreux documentaires animaliers m'ont révélé comme une évidence.

Les plantes ça va... c'est tranquille, on a le temps de voir venir, c'est parfois un peu collant mais ça vous saute pas non plus sur le râble à l'improviste. Dans l'ensemble c'est pas trop chiant.

Mais les bêtes... franchement... Elles sont intenables, barges, inquiétantes, bizarres, mal polies, de mauvais poils, folles, dangereuses, sales, souvent menteuses ou de mauvaise foi... je crois que je n'aurais jamais assez de qualificatifs pour les décrire et dénoncer leurs trop nombreux défauts.

Oh bien sur, vous me direz : "et les vidéos de chatons mignons sur Youtube, hein, les chatons mignons ?" Ouais, ben moi je dis, les chatons ce sont les arbres qui cachent la gentille forêt ! D'ailleurs pour vous en convaincre, imaginez la forêt vierge sans les animaux... un paradis j'vous dis !

Non, les bêtes ne connaissent qu'une seule loi - la loi de la jungle - et si vous n'êtes pas convaincus, alors lisez les pages de cette BD.

Pour consulter toutes les planches plus facilement, vous trouverez un sommaire complet de ce blog en bas de cette page.


Secrets de famille


La loi de la jungle - 29


C'est peut être une planche qui ne sera éventuellement appréciée que par les pêcheurs, mais bon il en faut pour tout le monde après tout.

Je vais quand même donner la liste des "enfants" par ordre de profondeur et qui donne une bonne idée (non exhaustive mais presque) des poissons peuplant nos lacs et nos rivières :
L'ablette aux reflets argentés ; la vandoise – que certains voient comme une sardine d'eau douce ; le chevesne qui aime les retenues d'eau qui précèdent les moulins à tel point qu'il est aussi appelé le meunier ; le rotangle – une sorte de gardon qui aime se nourrir d'insectes en surface ; la truite, secrète, vive et véloce ; l'alose, aux points noirs, la grande migratrice ; le carassin, rouge comme ceux de nos bocaux ; le rapala de Finlande ; le gardon, frais bien sûr ; le brochet, taillé pour le sprint ; la perche, curieuse et capricieuse ; le blackbass, fier combattant ;la grémille bizarre et toute en épines ; la carpe, majestueuse ; le sandre, fin et difficile ; la brème, vorace ; le barbeau, amateur de fromage – on le pêche au carré de vache qui rit ; le goujon, trop rare ; le silure, effrayant et parfois gigantesque ; l'anguille insaisissable et enfin la tanche, l'indolente à la belle robe dorée.


Sur le fond, ces genres de secrets sont bien plus répandus qu'on ne l'imagine. D'ailleurs qui me dit que je ne suis pas le père (shhhh) de certains qui me lisent… Oh mon Dieu !

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