La loi de la jungle

Les animaux sont vraiment déjantés... C'est une constatation que les visionnages de très (de trop, peut être) nombreux documentaires animaliers m'ont révélé comme une évidence.

Les plantes ça va... c'est tranquille, on a le temps de voir venir, c'est parfois un peu collant mais ça vous saute pas non plus sur le râble à l'improviste. Dans l'ensemble c'est pas trop chiant.

Mais les bêtes... franchement... Elles sont intenables, barges, inquiétantes, bizarres, mal polies, de mauvais poils, folles, dangereuses, sales, souvent menteuses ou de mauvaise foi... je crois que je n'aurais jamais assez de qualificatifs pour les décrire et dénoncer leurs trop nombreux défauts.

Oh bien sur, vous me direz : "et les vidéos de chatons mignons sur Youtube, hein, les chatons mignons ?" Ouais, ben moi je dis, les chatons ce sont les arbres qui cachent la gentille forêt ! D'ailleurs pour vous en convaincre, imaginez la forêt vierge sans les animaux... un paradis j'vous dis !

Non, les bêtes ne connaissent qu'une seule loi - la loi de la jungle - et si vous n'êtes pas convaincus, alors lisez les pages de cette BD.

Pour consulter toutes les planches plus facilement, vous trouverez un sommaire complet de ce blog en bas de cette page.


Pas de loi


La loi de la jungle - 21

Même si au départ, cette planche n'était pas destinée à évoquer le drame de Charlie Hebdo, mais la montée des divers mouvements fachos divers et variés, on ne peut s'empêcher d'y penser.


La problématique est posée, mais je n'en ai pas vraiment la solution … Peut-être que tout est histoire d'évaluation des risques. Les résistants durant la deuxième guerre mondiale sous l'occupation nazi, n'était pas des pleutres, c'est le moins que l'on puisse dire… mais ça aurait été suicidaire de se pointer devant la Kommandantur du coin en hurlant "bande de cons"… Le pire, c'est que certains ont fait des trucs de ce genre pendant cette guerre : un groupe de résistants en novembre 43 si je me souviens bien, ont investit un village, ont défilé en armes, ont déposé une gerbe devant le monument aux morts, ont chanté la marseillaise, puis se sont dispersés. C'était une façon de dire "on est là et nous n'avons pas peur".  


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